Title: | Anti-Me (maudit voisins gonflables) |
Posted On: | 2007-04-04 07:33:13 |
Mais que se passe-t-il?
Pourquoi suis-je si fébrile?
Pourtant, le soleil brille
mais tout m'a l'air débile.
Peu à peu, je me transforme, encore...
Mon âme voudrait-elle allez dans un autre corps?
Est-ce moi qui change
ou le décor dans lequel je me trouve qui devient étrange?
Peut-être un peu des deux...
Cela fait peut-être parti du jeu...
Plus ça change, plus c'est différent.
Les chemins se séparent, sont divergeant.
Il n'y a rien de mal là-dedans!
Mais ce qui est plus décourageant
c'est de voir la façon dont on s'y prend.
Je n'aime voir personne être jaloux de mon bonheur,
car ces gens s'imaginent surement
que je ne vis aucun désagrément.
J'ai eu mon lot de malheur.
J'ai pleuré et j'ai souffert à mes heures.
Mais je n'ai pas baissé les bras
et je suis parvenue seule à bout de cet état.
Je n'ai envier personne.
De toute façon, qu'est-ce que ça donne?
J'ai pris mes problèmes
et je leurs aie trouvé une solution.
Voilà ou ca m'ammène
dans ma phase de transformation.
Lorsqu'on aime d'amour ou d'amitié,
la jalousie et l'envie ne sont pas invitées.
Lorsqu'on aime d'amour ou d'amitié,
ne sommes-nous pas suposé
d'être heureux pour l'être aimé?
Heureux qu'il ai enfin trouvé sa voie,
qu'il soit enfin sorti de l'ombre et du froid,
chose qui est difficile à faire, parfois.
Mais non, au lieu de ça, on boude
parce que l'autre a ce qu'on a pas.
On le voudrait tellement...
Mais on ne sait juste pas comment.
Au lieu de se comparer aux autres
comme des maudits voisins gonflables,
on devrait garder la tête haute.
Tout serait déjà plus fiable.
Tout ce qui mon redescend,
tout ce qui redescend, remonte.
La réponse, tu l'as en dedans.
C'est ta démarche, ton travail à ton compte
de découvrir ce qui ferait ton bonheur...
Mais en aucun cas
ne tient les autres responsable de ton malheur...
En s'avouant les vraies choses,
parfois, ça fait peur,
mais on est capable à nous seul
d'être le vrai coupable de son propre malheur.