Title: | Éphémère atrophie ... |
Posted On: | 2006-12-12 15:08:59 |
Éphémère atrophie ...
Des vierges sages, et des vierges folles ...
Différentes en raison de leurs libre arbitre ...
Dans leur vouloir elles sont liées ...
Restant toujours les mêmes ...
Elles dédaigne l’inaccessible ...
Par pareille impossibilité ...
N’ayant nullement l’impression ...
Qu’elles sont au-dessus du temps ...
Et de la matérialité de l’espace ...
Loin de la lourde pression ...
Que la liaison avec la matière exerce sur leurs esprit ...
Elles doivent trancher net l’enchevêtrement des noirs soucis ...
Telles de hautes et sombres murailles ...
L’accablant souci se referme sur elles ...
Des courants maléfiques les remplissent d’envie et de haine ...
Envahis par le mal qui avec obstination et vanité ...
Veut faire d’elles les instruments des ténèbres ...
Durant des millénaires elles seraient source de méchanceté ...
De bassesse, de vulgarité et de la cruauté ...
Responsable de tout les maux ...
C’est du coeur corrompue que se répercute leurs anéantissement ...
Sous l’emprise des mésestimée ténèbres ...
Fautes et faiblesse s’y entredéchire ...
Subtile avec une vitesse et une intensité accrue ...
La peur l’effroi, la crainte touchent profondément leurs âmes ...
Elles portes donc la marque de l’éphémère atrophie ...
Emblème de la sphère des noirs désastre ...
Un contraste vois le jour un point de non retour ...
De leurs faiblesses elles deviennent lourde ...
A mesure que la noirceur la plus dense s’installe ...
Les ténèbres devenaient de plus en plus profonde ...
Le dévorant soleil versa sa flamme implacable et direct ...
En ces contrées perdues ...
Dans un brouillard de cendres d’or se dissipe certaines ...
Perfidie de leurs sort , en une traînée de tristesse ...
Elles furent saisies de remords, luttant longtemps ...
Sans bien savoir ce qu’elles en devaient croire ...
Un chevaleresque long rayon clair venu de l’horizon ...
Sur leurs doux visage de dormeuse revenue radieux ...
Extasiées par la flamme qui embrumaient de poussière d’or ...
Les entrailles de la bête, du spectre de la mort ...
En venant éveillé en elles la nostalgie de la lumière ...
Elles bénéficient des hauteurs lumineuses ...
Pour s’opposer victorieusement aux influences ténébreuses ...
Elles vibrent depuis dans la grande mémoire cosmique par le coeur ...