2013 July:
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Comme un tas de mouettes s'arrachant ce qui se mange. J'ai déserté l'endroit, maganée de l'esprit Le corps sale comme jamais parce qu'on l'avait détruit Abîmée par les sens d'autrui de haut en bas Jette-moi par terre un coup parti Ton indifférence probablement la raison d'être de ce qui est infligé Force-moi une fois de plus à devenir la raison de tes fantasmes C'est parfait, continue Autodétruis ce qui se présente devant toi Les mains sales d’auto-dérision Tu pues au nez de celles dont tu as abîmé Blâme-moi aux circonférences de ta violence Crie les mots des refus tous reçus le blâme sur la cible mal choisie. Les doigts se promènent Crasse par dessus crasse Va donc où je pense Pelleter dans les champs de mensonges
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