Posted On: | 2013-07-19 19:47:59 |
Comme un tas de mouettes s'arrachant ce qui se mange.
J'ai déserté l'endroit, maganée de l'esprit
Le corps sale comme jamais parce qu'on l'avait détruit
Abîmée par les sens d'autrui de haut en bas
Jette-moi par terre un coup parti
Ton indifférence probablement la raison d'être
de ce qui est infligé
Force-moi une fois de plus
à devenir la raison de tes fantasmes
C'est parfait, continue
Autodétruis ce qui se présente devant toi
Les mains sales d’auto-dérision
Tu pues au nez de celles dont tu as abîmé
Blâme-moi aux circonférences de ta violence
Crie les mots des refus tous reçus
le blâme sur la cible mal choisie.
Les doigts se promènent
Crasse par dessus crasse
Va donc où je pense
Pelleter dans les champs de mensonges