2008 October:
2006 August:
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Ils ont insultés les vaches Et l’on fait sur leur terrain Sur le beau terrain des vaches Agricole pour les marins Des gens ont mit des clôtures Restreignant leur pâturage Étourdies par les voitures Dont l’odeur les enrage L’hiver dernier, en panique Des fermiers, barbes gelées Y branchèrent de l’électrique Remplaçant les barbelés Meilleures que les moutons Du lit, on compte leurs taches Ils restent tous en mottons Sautent autant que les vaches Élégante cloche au cou Faites par le forgeron Les aveuglent dès le coup De midi sous l’astre rond Rêver de l’Inde où sont dieux Ces ruminantes indoues Ou devenir dindes en jeu Tromper ceux qui amadouent Pourtant ils vivent la joie Tous et chacun en profitent Reste que ces villageois Traîtres les traitent à la va vite Un enfant au tabouret Plus petit mais aussi laid Place sur une table où est Tout ce qu’il soutire de lait Venu le soir, visite suit Des gens sans lunettes fumées Viennent s’asseoir, les essuies Rien perdre même en fumier. *Vendredi le 10 octobre MMVIII
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