Posted On: | 2009-07-20 18:42:56 |
l'air moîte à l'arrière goût poussièreux. l'odeur piquante de l'asphalte mouillé qui s'évapore dans le centre ville. C'est le relent de toutes les cuisines multiethniques.Le parfum lascif d'une femme qui est déjà quatre pas trop loin. l'asphyxiant carbonique du tablier métropolitain. Le ventre imbibé de sueur par les générations marginales du foufounes électriques. Les effluves des pipes à eau sur st-denis descendant la descente sherbrook.
L'urbanité toxique de l'arôme de montréal...j'aime