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D'après mon expérience personnelle après plus de 20 ans de carrière sur la scène musicale... Il m'est arrivé de vivre des expériences qui m'ont fait voir que la consommation de drogue et parfois le manque de sommeil pouvais vraiment affecter la réalité de quelqu'un. Un jour j'ai reçu un appel téléphonique d'un policier qui riait en me disant qu'il y avait quelqu'un qui était en train de porté plainte sur moi parce supposément je mettais des messages subliminaux dangereux dans ma musique qui visait à influencer les jeunes filles en particulier, le policier insistait pour me dire de faire attention parce que cette personne me voulais du mal... ma seule intention est de faire ressentir des émotions positives et faire ressortir le meilleur de chacun, toutes personnes qui s'est égarer ailleurs est responsable de ses propres démons... DROGUES, PSYCHOSE ET CROYANCES recherche par IZ Halluciné ou être illuminé par une hallucination, c’est être en psychose hallucinatoire, le vecteur des croyances. Le psychotique souscrit sans réserve au monde de l'irréalité, le moteur des croyances. Ce monde inquiétant qu’il créé au fil des années, du fait de son incompréhension du phénomène hallucinatoire, il l’attribue à une communication personnelle venue de l’au-delà, ce qui se nomme délires d’imagination, le plus souvent mystiques. C’est pour cette raison que LA PRÉVENTION DES JEUNES, par l’explicatif des phénomènes hallucinatoires, est la seule manière de les préparer à ne pas faire ce lien automatique erroné et donc de prendre la voie médicale. La meilleure manière de ne pas faire entrer nos enfants de cette trompeuse « maladie », est donc d’inclure le phénomène hallucinatoire schizophrénique dans les programmes de l’éducation nationale ainsi que dans l’éducation religieuse des jeunes. Quelle barrière entre les personnes vénérées par les religions parce qu’elles ont été reconnues en communication avec Dieu et les personnes dites « schizophréniques » en psychose hallucinatoire d’ordre visuelle, auditive ou de perception? Et bien, il n’y en a pas. Artificiellement la sensation de communication avec l’au-delà peut-être provoquée par accélération de l’activité de la zone cérébrale concernée par excès dopaminergique et de sérotonine: · Les chamans par utilisation notamment de DROGUE · Les châtiments corporels (Flagellation dans les pratiques religieuses). · Le jeûne, LE MANQUE DE SOMEIL, la prière intense · La méditation et le yoga et la danse (VOIR ARTICLE: Les effets de la musique sur le cerveau) Pour les schizophrènes cela fonctionne seul à l’excès (Les antipsychotiques "neuroleptiques" tentent de bloquer les excès neurotransmetteurs pour en diminuer leurs trompeuses perceptions). Ne pas abolir pas cette barrière, c’est croire en deux modalités distinctes pour d’identiques symptômes. Alors que pour toutes autres maladies, les symptômes sont toujours uniquement d’ordre médical. Autrement dit, ne pas considérer les facteurs pouvant créer l'hallucination et rejeter la possibilité du délire peut mener à un mauvais diagnostic. Des neurobiologistes, des neuropsychiatres et neurothéologiens constatent que les croyances ne sont qu’une activité cérébrale et ont bien déterminé par l’IRM la zone du cerveau réceptive et active à ce domaine de l’irréalité. On peut donc cerner 4 grands types d’individus selon leur activité cérébrale particulière: Les athées dont l’activité est minimale. Les indifférents, les plus nombreux, ayant une activité ‘moyenne’, lesquels suivent le mouvement général. Les vrais croyants avec une activité soutenue. A l’extrême, les schizophrènes dont l’activité est débordante qui ont de réelles perceptions (Sensations intériorisées, hallucinations auditives et visuelles principalement). Dans cette optique d’analyse rationnelle, un laboratoire pharmaceutique pourrait donc créer une molécule chimique ciblée permettant de diminuer cette activité cérébrale liée aux croyances et pourrait donc inscrire sur sa notice pharmaceutique ceci : « ... est utilisé pour traiter une maladie qui s’accompagne de symptômes tels que entendre, voir et sentir des choses qui n’existent pas, avoir des croyances erronées... C’est ce qui est indiqué clairement dans la notice pharmaceutique de l’antipsychotique Zyprexa. C’est l’un des neuroleptiques de dernière génération les plus prescrits en psychiatrie, notamment en schizophrénie. On sait maintenant que des hallucinations peuvent survenir en dehors de toute pathologie mentale, par exemple au moment de l’endormissement (hypnagogie), ou dans des états de conscience modifiés, ou après l’absorption de certaines drogues, ou dans des cas d’isolement sensoriel... LES DÉLIRES PARANOÏAQUES DE LA DROGUE Le délire est une perte du sens de la réalité, se manifestant par des convictions fausses, auxquelles le sujet adhère totalement. Les délires apparaissent dans les psychoses. La pensée délirante touche le fonctionnement du psychisme et l'intégrité de la personnalité. Les thèmes délirants sont nombreux : - Les idées de persécution ; - Les idées de préjudices et de revendications ; - Les thèmes mystiques (possession démoniaque etc.) ; - Le dépit amoureux (jalousie morbide, érotomanie) ; Les délires passionnels regroupent l'érotomanie, les délires de jalousie et les délires de revendication. Ils ont été regroupés et qualifiés de passionnels du fait de la nature des sentiments et des thèmes qui les inspirent. Ces états ont en commun d'être des états délirants chroniques débutant généralement brusquement par une interprétation ou par une intuition délirante. Ils peuvent secondairement s'enrichir de nombreuses interprétations délirantes et comportent en général une forte participation affective pouvant être à l'origine de passages à l'acte. Les délires passionnels ont une construction dite "en secteur" car ils ne s'étendent pas à l'ensemble de la vie psychique, affective ou relationnelle du sujet et les idées délirantes restent centrées sur l’objet et la thématique quasi unique du délire. Le délire de jalousie touche essentiellement des hommes. Il s’installe le plus souvent de façon insidieuse et va se nourrir et se développer aux dépens d’évènements anodins qui feront l’objet d’interprétations délirantes. Il s’associe régulièrement à un alcoolisme chronique qui peut dans certains cas favoriser la survenue d'un passage à l'acte. Le délire érotomaniaque touche plus fréquemment des femmes et l’objet de l’érotomanie tient souvent une position sociale élevée et enviée (prêtres, médecins…). Ce trouble débute par un postulat fondamental, formé par une intuition délirante, au cours duquel l’objet de l’érotomanie déclarerait son amour. L’évolution de l’érotomanie se fait en trois stades successifs : espoir, dépit, rancune. Au cours de ces deux derniers stades, des actes auto et surtout hétéroagressifs sont à craindre. - Le délire d’interprétation de Sérieux et Capgras : Les délires d'interprétation se développent le plus souvent chez des patients présentant une personnalité pathologique de type paranoïaque. Ils peuvent survenir brutalement, faisant suite à un facteur déclenchant, ou s'installer de façon insidieuse. Ce type de délire peut se structurer et évoluer durant des années. Les interprétations délirantes sont nombreuses et tous les évènements rencontrés par le sujet seront rattachés au système délirant. Il n’y a plus de hasard dans la vie du sujet. La structure de ce type de délire est dite « en réseau » puisque tous les domaines (affectif, relationnel et psychique) de la vie du sujet sont envahis par les idées délirantes. Les thématiques les plus régulièrement rencontrées sont celles de persécution et de préjudice. - Les idées de grandeur (mégalomanie)... Les idées délirantes prennent corps et s'élargissent à partir des phénomènes psychosensoriels qui les accompagnent : - L'imagination est débordante; elle trouve son origine dans l'univers fantasmatique. La fabulation en est l'exemple le plus typique, le sujet vit son rêve et y croit complètement. - Le malade interprète les faits et voit des signes partout; le raisonnement prend son origine dans une sensation réelle, un fait exact, qui prennent, à la suite de déductions fausses, une signification personnelle pour le malade. - Les hallucinations sont constantes sensorielles (auditives, visuelles, olfactives, gustatives, tactiles...) ou psychiques; ce sont des "perceptions sans objet à percevoir". LES HALLUCINOGÈNES ET PSYCHOSTIMULANTS Le LSD ou diéthylamide lysergique est obtenu à partir de l’ergot de seigle (champignon parasite du seigle). Il se consomme sous forme de buvard, de « micropointe » ou sous forme liquide. Un « trip » contient entre 50 et 400 microgrammes de LSD. C’est un hallucinogène puissant qui entraîne des modifications sensorielles extrêmes, des fous rires incontrôlables et des délires. Le « trip » peut durer entre 5 et 12 h et la descente peut être brutale, s’accompagnant d’angoisses, de crises de paniques et de délires paranoïaques selon les individus. L’usage du LSD peut causer des accidents psychiatriques graves et durables. Les amphétamines ou speed sont des psychostimulants puissants qui se consomment sous forme de cachets à gober ou de poudre à sniffer. Ces substances, souvent coupées, sont un stimulant physique qui supprime la sensation de fatigue et donnent l’illusion d’être invincible, ce qui amène l’individu à un état d’épuisement, à une grande nervosité et parfois des troubles psychiques. Ces produits sont très dangereux en cas de dépression, de problèmes cardio-vasculaires et d’épilepsie et la descente peut s’avérer difficile avec des crises de tétanie, un état dépressif, voire suicidaire. La kétamine a des propriétés hallucinogènes, anesthésiques et analgésiques (contre la douleur). Consommé en poudre à inhaler, cette molécule peut entraîner des pertes de connaissance accompagnées de vomissements et d’asphyxie, des troubles psychiques (panique et anxiété) et neurologiques (paralysies temporaires). Il y a un risque d’arrêt cardiaque et de défaillance respiratoire en cas de surdosage. LA PERSONNALITÉ PARANOÏAQUE Composée de quatre traits principaux: L'hypertrophie du moi : cette SURESTIMATION de soi-même est au centre de la personnalité paranoïaque. Elle entraîne la mégalomanie, l'orgueil, le mépris des autres, la vanité parfois cachée derrière une fausse modestie superficielle. La psychorigidité : le paranoïaque est INCAPABLE DE SE REMETTRE EN CAUSE, de se plier à une discipline collective. Il a toujours raison et est autoritaire. Cette inadaptation sociale fait qu'il finit souvent par s'isoler et à privilégier les apprentissages autodidactes. La Méfiance et la suspicion : le paranoïaque pense que les autres cherchent à le tromper car ils sont jaloux de sa supériorité. Il se sent en permanence entouré de personnes envieuses et malintentionnées. Du coup, il est susceptible et toujours sur ses gardes. La fausseté du jugement : le paranoïaque suit sa propre logique, laquelle est basée sur une série d'interprétations fausses mais dont il est absolument convaincu. Il cherche d'ailleurs souvent à IMPOSER SES OPINIONS DE MANIÈRE TYRANNIQUE ET INTOLÉRANTE À SES PROCHES. Les délires paranoïaques sont très construits et peuvent parfois être convaincants. En dehors des thèmes sur lesquels il délire, le paranoïaque peut tenir des propos tout à fait cohérents. Mais les moments délirants sont bien du registre des psychoses, c’est à dire de troubles où l’individu a perdu tout contact avec la réalité et n’a donc pas conscience de souffrir d’un trouble mental. Le grand risque de ces délires est alors le passage à l'acte sur la personne qui est présumée par le paranoïaque être au centre du complot. Une personnalité paranoïaque en prise de drogue peut facilement se retrouvé en état de délire, ne pas accepter d'halluciné c'est créer le délire puisque le sujet n'a aucun doute sur son état et ne laisse donc aucune place au monde réel.
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