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Cadavre Exquis: (littér.) Jeu collectif pratiqué par les surréalistes qui consistait à faire composer un texte ou un dessin par plusieurs personnes sans tenir compte des collaborations précédentes ( on écrivait sur un morceau de papier que l’on pliait et passait à son voisin). Beaucoup empreint, également, du concept d’écriture automatique qui vise à laisser le flux créatif littéraire s’emparer de nous et de couler, si on peut dire, de notre inconscient immédiat, sans souci de cohérence, de grammaire ou même de vocabulaire. Conceptualisation très onirique de la littérature, du psychisme imaginatif et du potentiel de création. Des mouvements qui jaillissent directement du surréalisme, comme les automatistes des années 1970, s’inspirent de ce concept et l’appliquent dans toutes les sphères artistiques où les limites sont totalement abolies. Dans le respects de la tradition, les mots inventés et les fautes d'orthographes n'ont pas été corrigés soyez indulgents. Je sais que cette lecture peut être longue mais elle en vaut la peine... certains sont meilleurs que d'autres mais évidemment c'est subjectif Laissez-moi vos commentaires! Cast Laurie-Eve Sophie S. Sophie B. Julien Pierre Isabelle Geneviève R. Petite Tête Francis Le mexicain Raoul Catherine Charline Tina Dominique François 2 gars rencontrer à Berri, leur noms m’échappent Ilya Mme Rôtie de Bœuf Vincent Karine Jessica Martin Pénélope Rémi Charles-Olivier L’amie de Pénélope Charles (alias bob lacasse) Jonathan Louis Mathilde 2 gothiques Juno Alexis-Roy Le gars des élection Laurence Pierre-Luc J.S. Yann (alias RAD) Virginie Phil Max Cadavériquement sale et putride dans une consolation avide et dénué de sens organiser et orchestré par les médias définis par les paysans qui divulgue notre laisser-aller qui engendre proscuité et achalandage au centre de nos esprits confus par le chiale controversé d’une gauche attardée qui nous pique dans nos veines intraveineuses infrastructurées de poses saisissantes endoloris d’endorphines mutantes en codéine multicolore qui est en effet l’intransigeable respecté qui dans l’abîme de nos corps, nous fait refléter l’antidote secondaire et éphémère de la haine engouffré dans un trou profond de l’humain mysanthrope qui a peur de tout, des autres, de lui-même et même des objets du vécu personnel qui ne font qu’agraver la mélancolie de tous les jours. Je vais me crucifier avec un sang aussi pur que le Jésus-Christ enlisé dans la merde du futur christianisme qui remet en cause l’existence d’un tout-puissant très mal aimé et sale parce que tout sens la caverne putréfactive de rats et de soldats putés, de vautours également qui font le tour, qui font la disposition des éléphants à deux têtes qui dans leur peau d’egmophyles qui se piquent, qui baisent en se piquant d’une seringue interpretée comme un Dieu hétérophyle qui est en effet un Déesse mythologique qui m’empêche de me fixer dans le vide des illetrés trop sporadiquement fou, je vais à la découverte du tapis blanc. I beggining the story c’est comme si je vas me coucher pis je vas partir dormir et je vas également boire/me soûler et tenter de fourrer avec un étalon bandant qui va me remplir ben comme faut avec sa grosse verge ou plutôt grosse convergence, que sont les médias dans cet humble médiocrité qu’est notre société affaiblie par le désir d’être aimé par quelqu’un qui me complète sur tous les plans et partir ensemble en voyage dans les Antilles sont saupoudrées de malfaiteurs malbaisés qui préfèrent s’écraser plutôt que d’expier le désir ensommeillé qui tue leur gaieté mais putain que l’indirigeable animé m’amène à me requestionner sur l’absurdité de l’existence humaine par rapport au néant qui désigne la fin du tout et je me perds dans l’indésirable mais qui se passe sans pouvoir décisionnel je n’ai aucun droit sur le temps qui passe parmi le passé, le présent se parsème de futur aussi incompréhensible que le passé ou le présent qui s’entremêle pour créer cette absurdité qu’est la vie est une défaite face à la mort qui totalement imprécise nous n’avons pas le choix. Nous devons perdre l’organisation de nos cellules qui par la détérioration nous amènerons à la déchéance étant un mot sans sens précis qui ne fait pas partie de la vraie réalité abstraite A oui qui fait partie de nous j’ai peur d’exister mais j’y peux rien car la vie est la plus belle chose qui me soit arrivé et quand je pense à toi Charles, je suis euphorique mais ce n’est qu’éphémère. Dans les vallées sablonneuses un certain être de malaise se fait grandissant, une angoisse qui pourrait se résumé à une centaine de détails plus insignifiants les uns que les autres. Ils, elles sont à la merci du pacifisme. C’est pourquoi de ma chainsaw sanglante et affilée, je l’ai décapiterai peu importe l’amour que je leur porte et qui me rends malade de désirs envers l’énergie environnant, perforant mes particules génératrice d’idées lorsque dans son tout et d’ailleurs ce n’est là qu’une manifestation d’une logique qui elle est universelle dans une sorte de cubicule énervé et temporellement sonné , ce qui nous fait revivre l’absurde moment présent, l’intense initiation burlesque de nos sens en ébullition chaude et pétillante je me sens comme un pantin rattaché à la force des hormones intenses qui drainent mes veines et qui coulent comme l’appétence transversal (inverse de transe) de l’hypothétique poétique. Et si cela ce pourrait être en total Dénouement agréable mais sans ajouts pur à l’état second que nous sommes, si fragiles et persécutés par des moments où les maniaco-dépressifs nourrit aux meilleurs grains possible de parcelles outrageuses qui les mettais de plus en plus en colère car la détention de son âme ne lui permettait pas de laisser leur délires incohérents délires vous perturber. Sur une immense colline d’argent, je m’enfonçai tranquillement au milieu des billets. Une odeur souillé m’emplis la tête ensanglantée, il entra dans la caverne obscure où gisait le loup blessé qui rampait de peines et de misères afin de rejoindre le plus tôt possible son clan pour que les loups lui pansent ses plaies béantes dont la croûte de pue s’étendais sur tout son corps. Il se sentit faiblir, le sang absorbait le coton et bientôt il fut submergé. Tout à coup une lumière les aveugla, c’était un météore qui en tombant brûlait dans l’atmosphère austère du cimetière où se répandait une odeur mortuaire qui me glaçait d’effroi, j’en perdis tout contrôle, j’avais mal à la tête et aux yeux. J’essayai d’avancer à tâtons mais je perdis conscience avant même d’en voir le bout. Ce même bout se mit soudainement à brûler d’un feu rouge vif qui engloba son corps tout entier il se jetait dans ses bras en l’encerclant de ses mains moites et lui bécotant les joues passionnément. En fait, il ne manquait que le champagne question de bien arroser la soirée par son angoisse. Il se rendit compte que cette femme tentait de l’enfirwoper dans ses griffes. Il la repoussa, et coura vers la porte. Il tomba, se releva et puis tomba encore. Enfin il atteint la porte. Cette dernière était verrouillée à double tour. Il cria, cria comme un animal qui léchait sa plaie béante. Un peu comme le roman de Nelly Arcand qui, selon les dires d’Isabelle maréchal, est un témoignage, l’auteure ouvre sa plaie et décrit ses souffrances personnelles. Interminable cri qui lui entrai dans la tête comme un coup de fusil qu’on donne pour achever une victime Ils étaient comme des feuilles mortes qui se laissaient dominées par le vent violent qui produisait des vagues immenses sur la plage forma cette intensité devant mes yeux ébahis et j’entrepris alors une escapade dans le fond de mon âme à la recherche des vestiges grecques ensevelis sous la terre qui, tôt ou tard seront retrouvés. Il reste tant de choses conçues par l’homme qui sont disparues. Espérons que nous retrouverons quelques uns de ceux-là et qu’ils nous en apprendront sur ces petits lutins malicieux et mesquins qui jetaient sur moi leur regard vicieux emplit de malseinité. On les considéra attentivement et on se rendit compte qu’ils allaient former un cocus. On eut dit qu’ils discutaient mais le fait qu’ils fixaient leur attention sur nous m’amenait à penser qu’ils parlaient de moi et ma cousine voyagions dans un monde matérialiste et de technologie qui nous amena à l’aliénation accélérer de nos corps qui nous transforma en automate. Je puis dire que j’ai perdu tout jugement critique. À vrai dire, je reste passif devant toute la complexité de la société qui essaie le plus possible d’atténuer la différence, ce qui diverge de la pensée unilatérale conformiste. Créons-nous des espaces de créations personnelles afin de produire notre propre ligne de fuite qui me créait une porte de sortie subite qui m’amena au cœur du désarroi et de la déraison. Amorcer le processus n’est jamais chose facile. Encore faudrait-il qu’on y pense. Pis même là, calisse que c’est pas évident d’être soi-même parce que ça fait tellement mal des fois de dire ce qu’on ressens vraiment la chaleur est accablante et rien n’indique que ça va changer le cours du quotidien. Et on y retourne. On essaye. On essaye ben fort mais la p’tite boule de haine au centre d’la bédaine est prête à exploser qui avec la hache de ces mots certains et préfabriqués, elle se découpa les ligaments de ses rotules premièrement et virent jeter les restes de ce qui avait été inutile, pis pas à peu près. À se demandait vraiment pourquoi. Ce pourquoi du comment avait peu d’importance, mais à se demandait pourquoi ce que j’étais parce que je déteste ce que je suis venue et j’aime mon passé si présent et malsain à la fois. Oui, oui, oui, oh oui, j’honorerai la tradition et bénéficierai comme il se doit de votre entière stupéfaction qui si loin de ma chair j’accrochai mon âme. 16 heures plus tard, nous nous fîmes dévorés les membres un par un et nous finîmes par décoller de la méprisante Cyndi et son irrésistible flamand bourgeois fauché par un piéton amputer qui ne cessait jamais de se rompre. Leur chair se décomposa lentement après leur avoir grugé leur joie et leur gaieté immoralement charpentière du mal qui mettais le mot à sec dans le mot lavage moderne qui nous automatisais comme des robots prêts à visser des boulons toutes la journée et d’écouter les nouvelles tous les jours où ils nous bourrent le crâne avec leur société parfaite. Le télé journal est une conspiration du plus rose des roses bonbons. Le bonheur est une chose accessible et ce en tout temps de curieuses trompette et des amis, les rires rassemblés dans une quête profonde où tous recherche ce dont ils ont besoin individuellement et collectivement. La brume de l’été était douce comme une rosée matinale qui s’écrase gouttelette après gouttelette sur leur peau éclatante. Goutte par goutte le temps passe lentement car rien était pressé et tout était si beau. Ils s’exploitaient et se vendaient comme légumes dans les épiceries des grandes villes où tout le monde vous cuisine jusqu’au centre du cerveau, le regard inquiet, le petit rire jaune empoisonné d’une angoisse que lui rongeait le sang cristallin de cette pauvre femme délavée de son âme à qui on soumettait une pression immense et démone, il se questionnait, il voulais quitter sa piètre interprétation lui laissait dormir en un divin petit soupir qui s’éloignait de sa mystérieuse cavité que j’observais avec ahurissement! Au secours criait-elle au secours! Au voleur, monsieur l’orignal à tout voler l’argent, ce salaud, ce bâtard de beige abrutissant qui me transportèrent dans des éclats d’insouciance insupportable qui régnait au-dessus de nous comme des imbéciles heureux. Parce que nous ne sommes pas, nous croyons, nous croyons en tout ce qui est bon de croire et c’est comme ça. Sanctuaire de l’impassibilité où nous étions obligés. Le silence, résolu au refoulement de notre moi profond c’est bizarre, cette chose ne m’inspire pas, j’irai lancer du papier de toilette dans les arbres aux feuilles qui tremblotent au gré du vent venant du nord où il y a de drôle de gens qui s’amuse pleinement à regarder leur mur s’effondrer dans toutes leur splendeur. La grande épopée d’une nouvelle ère allait entrer en jeu de société, c’est compliqué, ça pue et ça me donne envie de vomir le saumon que j’ai mangé pour souper en l’honneur des papillons agriculteurs qui avait labourer la terre toute la journée en étaient maintenant fatigués d’être négligé à l’insu de la belle Miranda un peu soûle qui s’adonnait à une observation obséssante des haricots verts, elle mange, mange, mange et ne peut s’arrêter, elle sent son ventre qui gargouille et c’est ça, elle est mal, grosse et perverse et insultante elle alla insulter les gens en manque d’idées merveilleuse causeuse de chez Germain Larivière. Ils étaient là à se demander si la Terre allait finir par tourner dans le sens où pointer le nez, tous à la recherche de leur propre trésor perdu. Ils étaient dans le vaste océan de marchants qui marchent en rang bien rangés et bien définis avec une exactitude perçante. Cette ligne est quelconques et me donne envie de faire l’amour car elle se consume et se continue sans cesse dans une consolidation heureuse et définis. La rage commençait à peser sur la fatigue du lutin sans tête. On voulait tous te bercer, pas te balancer, te bercer… oublier tout et te balancer de tout. Dors. Alors, se réveillant de se sommeil profond, ils allèrent cultiver des bibelot pleins de souvenirs, l’antre du diable repose dans l’enceinte cadavérique de l’ancien pharaon d’Égypte qui est un tombé totalement infini dans l’orange qui transcendante l’émotion auditive de la faim du loup pourchassé par la foi qui ne s’était pas manifesté restait inexacte et infranchissable. Mais malgré tout, tu m’anime, moi bibelot mort enterré avec un peu de laisser-allé. Qui laissent aller le smog de la ville en pleine effervescence de télévisions pas enchaînées à la chaîne commerciale qui nous explose. Nous sentions l’illumination s’emparer de nous. J’en avais mal au cœur. Les gens se mirent à vomir leur entrailles étant coulantes de sang chaud. Ils s’en délectaient tellement qu’ils ne pensaient plus à rien d’autre qu’une saloperie de bas socialement acceptable que les grosses usines avaient rendus au top du top avec leur lamentable usine crasseuse et puante dans laquelle nous pourrions nous barricadé jusqu’à ce que mort s’en suive comme des automates ridicules qui s’amusaient à se ridiculiser car ils étaient programmé comme ça qui disait feu Gédéon Létourneux mort écrasé par une bouse de girafe qui gambadait ici et là dans l’agora d’une éternel passion entre un couple démodé qui passait leur temps à se chicaner pour des histoires de postes complètement débile dans lesquels on a confiance. Ici à soir c’est le pays de la palette drette. Trasher, dégueuler ark ark ark j’hais osti de vague qui coule car je me sens bien ici, avec toi, baignant dans cette malseinité mais peu m’importe plus que tout. Danser sur les murs ici ou là mais notre gourou c’est qui? Peut-être un chevreuil? Peut-être un mancho… quoi qu’il en soit il n’est pas très doué pour se camoufler parmi les têtes de mort qui claquent des dents sur les chandails et les saccoches. C’est la danse du morons-piton, le charlo du règne d’outre-mer celui qui se déhanchait tel un pot-pourri abjecte empli de tripes de langues qui fument toujours et de veines qui swingnent autour de nos cous. Digérons cette abjecte fange qui disait en couinant « j’ai des souliers neufs, j’ai un chandail bleu » la comptine de sonatine écrite par un compositeur complètement junkie qui aimait secrètement se caresser avec des pattes de vieilles calomnies qui imposaient sur le cerveau juvénile une telle emprise qu’il était dur d’y échapper mais dans quel trou faut-il se réfugier? Au fond aucun n’est assez discret pour éviter d’être découvert par la gestapo qui traque et couic comme se le dira le dernier souffle de Jimminy le lapin qui se demandait pourquoi le monde en était arrivé là. On se doit de hurler plus fort que la musique. BOOM BOOM, AAAH, BOOM BOOM faisait mon cœur en manque de vous savez quoi, c’est pourquoi je m’écris fucking bullshit, tabarnak d’osti de caniche. Je sais ben que tu vas te faire coiffer à la mode lion avec le pompon pis toute la patente me donne l’envie de leur cracher dans dace. Ils ne me dérangent pas tant car ils me sont indifférente mais dans une orgie, je leur chierai bien dans la bouche. Marchildon, c’est don ben la clique in pour se faire réparer les pieds en les mettant sur des orthèses. C’était ahurissant. Je marchai et partout il y avait de ces orthèses. Je me demandais qui avait bien pu les mettre là. La réponse était évidente : ses yeux ne trompait pas ; ils étaient d’un rouge « océan indien » sur tout leur pourtour avec l’entrelacement des nerfs qui sont mis en évidence jusqu’au plus petit rien. Ils nagent tous sans cesse dans l’agglomération douteuse qui fait de nous des esclaves insalubres et paresseux car il mâchait la vieille rengaine « à quoi bon » et préconisait le no futur (façon de penser qui prendra vite de la popularité auprès des jeunes). Et Kurt Cobain n’aide pas à remédier à la situation déclinait et s’écrasait. C’était d’une décadence inouï. Les idées s’envolaient et se mêlaient créant ainsi une tempête féroce. On nageait dans la compote aux pommes, aux cassis de la compagnie « Bonne Maman » sont tout simplement bravissimes. Tu goûtes et tu restes bien accroc un peu comme les incorrigibles dopés qui pensent en fonction de la seringue. Me transpercer le corps et le cœur. J’étais entremêlée. Je fixe l’intensité. Je ne me réveillerai plus. Ni demain, ni le surlendemain ainsi de suite jusqu’à l’infini des possibilités qui s’offrent à ma vue me laisse parfois perplexe et déterminé était son sombre personnage de rechange quand il en avait assez de sa personnalité à lui, il changeait pour celle de son inconscient qui s’incruste partiellement au sein de la conscience pour la déstabiliser, lui faire réaliser certaines idées profondes et ancestrales une caractéristique ou plusieurs qu’elle donnait à son âme dépourvue, assoiffée de vie et de peine noyé à fond par la compulsivité de nourriture éparpillée un peu partout par un bon samaritain qui avait de la pitié à l’égard des pauvres chiens-chiens qui doivent se satisfaire des cochonneries du dr. Ballard. Un docteur diplômé de l’école des vétérinaires il avait un pedigree de taille contre wiscatt la nourriture de chat qui ne pesait pas le poids de la concurrence publicitaire qui mène à rien qui vaille du pareil au même; les publicités tape-à-l’œil qui veulent exclusivement faire saliver le consommateur déjà converti dans la Machine Infernale gobe-sous comme un aspirateur malsain qui pourchasse les plus faibles afin de leur soustraire leurs joies, leurs peines, leurs misères. Bref leurs émotions. C’était comme si je m’élançais dans le vide et que je savais qu’il n’y aurait personne pour me ramasser par terre car j’avais chuté d’une brouette (chose commune) pour les jardins. Je hurle pour que les gens s’empressent de me prendre irremplaçable. Je criais et je pleurais de me le rendre. Mon très cher toutou, ami de toujours qui me ressemblait étrangement d’un pittoresque et grossier personnage dans la soucoupe volante avec un complet fluo et à la tête carré et aux cheveux frisés. Il ressemble à un hamster mais cubique je la sentais tout autour de moi. Elle m’enveloppait. J’avais l’impression de baigner dans la sérénité. Je la sentais soudain lourde bien qu’une palourde comprends la contraction « pas-lourde », la définition revoie plutôt à une lourdeur qui pourrait très bien être n’importe quoi. On s’en balance, on goûte et puis on déguste, advienne que pourra mais je n’y comptais déjà plus, je m’étais envolée et je fus aspirée par une énorme cavité. Ah osti que je suis tannée bâtard! S’en est une absurdité. J’aimerais comprendre intellectuellement l’essentiel mais l’essentiel se saisit par le cœur. Ma devise : fonce comme Johnny qui brandit son pedigree dans sa Lamborghini avec un martini qui l’étourdit. Il tomba inconscient sur le sol. Les gens s’affolaient. Puisque nous somme ici, parce que la louve le voulait bien. Cette forte et immense matriarche qui nous clouait sur le sol sur lequel siégeait les tyrans, nous assaillèrent et c’est pourquoi nous eurent accès à nos harpons bucoliques qui pleuraient la rouille sur nos corps trop oxygénés, et de mon cœur qui pollue les ondes énergétiques de Marine la femme qui hoquetèque tel une pastèque irrésistible à laquelle je ne peux succomber. Mais je non plus comme dans le lot du plus pluriel des mots qui sont mes ordures favorites et avec lesquelles je stimule mon vomi qui sent la pelure de zombie, aussi cruelle soit-elle que l’azure plombant sur nos regards vides. C’est un prétexte pour ne pas salir ma virginité du moment latent qui l’attends comme un présent et elle se rompit en morceaux-blocaux poisseux de la façon dont j’ai toujours été malaxé à cause de son rapport entre mon phallus et ma gorge se noue tel un sec raisin de lavage qui perd son sens quand on y pense mais on n’y peut ni plus ni moins, j’ai attrapé la suicide comme le vent d’hiver au travers du chemin qui m’éclairait tel le spot, lumpanuskeat qui créait autour de moi l’abîme des sentiments heureux qui sont une fable pour exorciser non pas des démons mais la respiration. Courroies, barrois, ce sont comme des synonymes d’émotion et d’énergie en motion. Le ciel est déchiré par les nébuleuses bleutées. D’un instant à l’autre tout pourrait s’écrouler comme toutes les barrières de notre raison qui parfois font défaut de nous-même et du reste, du temps qui nous a été donné. Évidemment, tout cela devait entraîner des conséquences de l’incohérence et de l’absurdité des plus petits mouvements sourds en relation avec la visualisation de la musique. Ce requiem en gamme mineure pour les compagnons perdus de l’arche perché. Je renchéris et c’est d’autant plus fort, je considère ces idées comme étant l’apothéose d’un certain réalisme des évidences colorées, en petites miettes au fond de mes mitaines dorées. Le froid était si intense que j’en perdait le souffle. Mes ennemis bien huilés s’en donnaient à cœur joie. C’est pourquoi je me lancai dans un combat sans merci : des coups de pieds ninja comme on n’en fait plus de nos jours, la perspective de ce fait nostalgique nous arrache une grosse larme salée collective, bruyante et explosive qui faisait sentir la menace. Une telle chose est insupportable dans le genre qui la regarde. Manque t’il quelques chose… hum je l’ignore. Ce que je sais, toutefois, c’est que l’homme est un loup pour l’homme et moi je suis le piège tendu du braconnier. Le plus fin chasseur ne pouvait l’attraper dans une forêt si dense. Les feuilles m’ombragent et prennent une place considérable dans ma stupéfaction à prendre les choses à leur plus simple expression. Au même moment le ciel s’entrouvrit en une grande crevasse lumineuse d’où s’échappa 1008 tortues japonaises génétiquement modifiées : leur gènes avaient transfigurés et réarrangés, comme du positif au négatif. Je me situe entre la ligne de déséquilibre, ni un ni l’autre, je fais partie d’un équilibre inhibés, androgyne et multigame, je renvoi aux philosophies, l’âme d’un être libérés de la contrainte yin/yang qui les a tous subjugués. Et tout ce beau monde avait de grands rêves mais au bout du compte le maestro était mort et l’orchestre trop paresseux. Les membres de la famille Le rendez-vous la guettait lourdement. Après mûre réflexion, elle accepta et se retrouva dans l’ignoble dépendance accoutrée comme sur le perchoir de l’imaginaire impliqué il dénudait sa peur du ridicule. Oui, je vous l’assure, les gens humiliés sont portés à avoir des pensées suicidaires assez névrosés, comme exemple le plus frappant, prenons Hélène Laviolette, une fillette surprenante du désir qu’elle partageait à tours et à collaboration son obscure et maladroite naïveté. Le pauvre petit Job se retrouvait sans cesse aggloméré dans un pouvoir d’autodestruction assez remarquable. Mais il ne s’en rendait pas compte, il ne pouvait s’en rendre compte de la gravité de l’embauche d’émerie butterfly, le soleil ne serait plus au rendez-vous ni la claire embouillade qui s’échafaudait dans notre fort intérieur agrémentée de l’ajout sale de la visqueuse Rachel et ses manies déconcertantes et avare du pouvoir qui lui giclait du poids, le gras s’emplit d’un colorant plutôt rougeâtre, l’obtention de la simili viande était là debout devant moi me criant : Je t’aime, Je t’aime, Je t’aime, Je t’aime mais ce n’est qu’une illusion des plus rabajoie. La famille Ogolbitz était prête à tout pour laisser quelqu’un sans sa touragilte. Quand nous obtenions la délivrance des quadrapes mélancoliques, nous mourrions silencieusement dans la sombre plaines accompagnées de mes compagnons de combats, qui tous étaient certains de la justesse de notre cause. Cette flamme qui nous animait était telle que même la mort n’étouffait notre idéal s’apparentait comme un linge souillant notre être si lamentable qu’il était, il nous émanait sa puanteur nauséabonde qui amplifiait notre déambule populaire de cette ville est notamment dû à la forte pression que subissent ces pauvres gens accablés par leur travail et au fait qu’il soient trop préoccupé à se morfonde sur ce qu’ils ont besoin plutôt que d’apprécier ce qu’ils ont et au bonheur qu’ils pourraient bénéficier d’une tentacule géante qui aux pieds de la chose se sentait irréprochable mais au fond d’elle-même elle savait déjà sa mort prochaine subite mais vraie. Cette vérité nous rempli d’un bonheur immense et totalement incontrôlable était cette vielle danse oublié de tous car le tous était après le verbe. Claire brume semé dans l’antre anspectrale du relant d’énergie qui cherche à agir et à réagir. Attention, il faut se méfier et ne pas se laisser prendre, la moindre réaction pourrait entraîner de malheureuses expériences qui sert à apprendre et à grandir ver l’inconnu qui nous parsème. C’est la porte qui s’ouvre pour laisser place aux autres de prendre leur place et leur sort est jeté. Il faut bien s’y prendre car parfois l’appréhension est trop grande pour concevoir trop belle pour voir le ciel s’illuminer sous les atèles du premier feu d’artifice, l’étincelle. La morale de cette histoire Je sais pas pourquoi mais tout le monde est comme des coccyx de fucking star qui chante des étoiles molles par ses joues trempées d’acier clair bleutées et d’arsenic. On peut passer beaucoup de temps à regarder autour sans jamais voir le comment du toujours glorieux sans me tenter. Allez, tournoies sans arrêt dans une sorte de vibe puissante ou coule le réservoir à sec du désir malfamé des gens de grandes envergures qui font la collecte de sang locale. Pourquoi? Pourtant c’est sur que tu peux sans cesse nier le parchemin qui nous éclaire mais ne passe pas à côté de la résine du courant féerique qui n’empêche aucunement des propos satiriques. N’arrêtes pas de courir en sens inverse. Tu portes des shorts et puis tu crois pouvoir finir premier mais la seconde n’est pas si pire petit gros. J’aime pas ses pensées profondes qui n’empêche pas de croire en une réalité vertigineuse. Mais je perds le sens du contraire falsifié du chemin rigoureux de l’avant-garde du garde mobile à la longue fourche. J’oublie toujours la raison pour laquelle on se préoccupe du danger imminent qui nous verse à l’intérieur du gouffre végétal béant et laid. Troubader dans un petit monde égoïste et paresseux. Quand j’y pense, c’est un peu comme de la gomme balloune très collante qui laisse des résidus de vielle bique qui pendouillaient de sa manche gauche. Il tenta tant bien que mal de cacher son état, car un étranger lui tenait le bec le clouant ainsi de toutes impunités qu’il aurait pu se délivrer, si abjecte et inconvenable « t’es un osti de mangeux de marde » dit une voix sortie de nulle part. jouissait son dessein tel l’emblême d’un grand chef tartare qui se nourrissait exclusivement de cervelle de guépard un ben beau costume entéca. Quel dilemme car on ne croit plus être, nous ne sommes que béat comme des animaux de foires complètement enfoirés. Le foin était encore humide en orient quand le froid arriva dans le nord de l’Ohio et que les wapitis gambadaient dans la forêt merveilleusement habitée que par les maléfiques crétins de l’absolution étanche et cruel qui les encerclais comme un rantamplan étendu sur le carré fuit le cube car le carré est retrouvé plusieurs fois dans le cube au moins 6 fois mais en subdivisant le nombre on parvient à pu savoir kes-kon dis… ce n’est qu’une aberration des plus dictatoriale. Une nouvelle pensée d’écrire plein de fautes et de perceptions agglomérantes. La vie de bidons ville est repoussante mais est extrêmement attirante, la crasse, la merde, le vomis, la diarrhée, le mucus, la shmou qui s’étendait dans l’absolu tellement qu’elle est inévitable et avec raison. Quand il ouvrait la bouche, les gens se taisaient. Il était tel un manitou vénéré de tous. Le grouillonement des larves frémissaient au soleil. C’était réconfortant. Mais la foule l’envahissait, peu à peu il se mit à faire froid. Il neigeait sur la Terre et bientôt l’on n’y vit plus rien. Peu à peu toutes les espèces disparurent seulement les mollusques du creux des océans avaient survécues, survivants dans un monde parallèle en écoutant le chant des mouettes mouillées. Le liquide embarrassait ses mouvements l’empêchant de briser la coquille s’était inversée et maintenant produisait un va-et-vient maléfique qui rendait la population dépressive. Une maladie transmise par le gras de cochon sur les pilules du bonheur. ‘‘Du petit Jésus en culotte de velour’’ comme disait son père. Un vrai bonheur. Le néant ce fit dans sa tête lui glissant des mains ses pensées se bousculèrent formant un énorme gruau d’idées L’automate subversif détient la vérité entre ses mains, il la sert mais ne s’en sert pas à grand chose parce que malgré son utilité dites, ces méprisables désirs n’amène rien de particulier et d’enrichissant à la boule d’émotions bouleversée, tant c’est grand et c’est splendide comme une pourriture choyée par les plus fortunés d’entre nous, la réprimande sale ce croit au-dessus de nos convictions mais il n’est pas question de la laisser faire. Les choses importantes viennent d’elles-mêmes, il ne faut que les attendre impatiemment car tout fini toujours par une négation de mon être insatisfait par les étranges sensations tremblotantes comme quoi la mort n’est peut-être qu’une raison de vivre est la raison pour laquelle j’existe dans cet espace saugrenu qu’est la course folle à la montre de la réussite sociale et inatteignable que par ablation du moi-véritable, rythme et mélodie, une concordance assaillante. Quand je me suis aperçue que j’étais complètement amoureuse je me suis tirée une balle dans la tête car la vie ne valait pas la peine d’être vécue, c’est un stéréotype qui nous emprisonne dans la prison de la normalité, dans d’ineffable rêves de mousses impossibles qui s’étendaient sur son corps assombrit par la lèpre qui le dominait et le sodomisait tel une boule d’inconscience spontaniété vilaine dans les rues de la ville, qui nous mène à la paranoïa infantile, incapable de contrôler nos esprits fragiles déambulaient dans le corps livide qui revient toujours au même car il est mal dans sa peau et qu’il n’affirme pas sa différence funèbre, dans des temps que l’on ne peut exprimer tellement ils sont obscurs. Ces petits démons de la société qui vous prennent au flajoiela et qui décident de votre abortion mentale, je déteste la béatitude. Je vais me tuer car le néant à compliquement dit je suis qu’une anémone qui se meurt tranquillement comme une tortue lente. Moi je suis un petit patapon qui se promène éternellement dans les rues de St-Brun rempli de bourgeois qui m’enrage BANDE DE CONS. Être saupoudré de la sérénité des 40-50 ans qui exercent une malseinité sur moi, mot qui n’Existe pas, c’est pourquoi je suis si seule et que je meurs à petit feu…moi je me sens bizarre constamment tocké et j’aime pas ça… c’est ben bizarre… c’est ben moche/poche. Je suis malade du mal qui m’habite qui me ronge les trips de MSN mais qui me persuade d’être malheureuse mais (encore) tout redeviens au même. La plante commence à me regarder d’un drôle d’air, me troublant davantage, à chaque minute que je la regarde, je m’époustoufle jusqu’à ce que je ne puis regarder son feuillage. Je vais trouver ça drôle comme une batch de linge sale qui vas nous réprimander jusqu’à l’aube, le petit refrain du sex-symbol. Guëtan était couché sur le sol glacé. Il regardait les étoiles en sachant que ce moment serait par la suite révolu du comité de l’ouvrage quotidien, l’obtention d’un désir serait maintenant sa seule angoisse qui régnait chez elle la prenait de part et d’autre, la transportant dans un immatérialisme fou. Fou du jour. Accroché à la boucle, le statut de l’homme tombe continuellement en neutralité déconcertante. Guëtan devenait de plus en plus parano tout en se mangeant la lèvre férocement, il s’entrevit couvert de plaies béantes. À l’aube de son sursaut, l’épidémie atteint le seuil de l’indépendance qui se ruait sur l’impassibilité des gens comme une bactérie vicieuse complètement abasourdi par le pouvoir qu’elle avait face aux cerveaux qu’elle succionnait son prochain… il ne pardonnait pas le fou rire excessif et le punissait de sa bouche excessivement brimante qui nous accablait et nous étouffait. Cette idée préconçue qu’on nous avait implanté refaisait surface nous menaçant une minute à la fois prenante et exorbitante mais jamais sans parler, dans l’instant du moment Sabrina se rappelle souvent ses soirées accompagnées de rires insolites emplissaient la tête des gens vulnérables. Ce rire, ce rire jaune d’un petit lutin qui sautait à l’oreille nous amena à croire qu’il fallait mettre le feu à la demeure ne leur apportait pourtant rien en particulier a part peut-être une abstraction passagère de la défaite qui l’affectait, son sex-appeal qui se manifestait lorsqu’elle consommait trop d’alcool. Parce qu’ils se demandaient sans cesse comment ils s’en sortiraient mais c’était sans compter sur l’effort de guerre qui comprenait une orange et un cornichon sûr, celui que tous les bons amateurs de cornichons préfèrent. Bref, s’en suivit une épopée circonstancielle où tout se mélangeait dans un désordre insolites de patates pataugeuses débarquèrent de leur vaisseau intergalactique, pitchant des économes sur les économistes cons. Paraîtrait que les gens aiment beaucoup ce type de cailloux étaient très recherchés en Arizona où des géologues pleuvaient comme des gouttes dans les oreilles, l’interne, l’externe, des gouttes d’eau et des gouttes de sulfure de carbonhydrate monosodique point. J’imagine que tout ça se terminera par une valse maléfique mais quoi qu’il en soit, ainsi soit-il. Condamnation interminable et insolente dont je souffrais graduellement. Malgré mes supplications ils continuaient leur lamentable discours oral du professeur qui me saute aux yeux car peut-être saura-t’il me plaire par écrit, une magnificence. J’escaladais ce mont d’étapes et je me dirigeai tout droit au cœur du désordre et où s’affirme l’ordre car il est impératif que le cosmos prends corps à partir du chaos emplissait la pièce du lumière éclatante et enivrante, je me basculais le corps spontanément comme une bobine de fil entêtée fini par s’effilocher du fait qu’il n’est plus raccordé avec les autres fils du foulard et on pourrait audacieusement affirmer que la justice qui sera instaurée dans la communauté précédente seront composées d’individus contraints dans leur liberté s’accroissaient de jour en jour comme un fantasme pitoyable et propre à lui-même mais en un sens l’autre, l’alter ego bienfaisant-malfaisant toujours sarcastique comme un espèce de clown débile qui court à droite et à gauche pour prouver au monde entier qu’il est le meilleur, le plus riche, le plus beau, celui qui sens meilleur. Bonjour bonjour, j’aimerais vous présenter ma femme M. Patate, le voici. Elle n’avait pas mangée depuis des jours, soudain son estomac ballonna et grossisa alors il explosa en mille morceaux. Ensuite le balayeur, grâce au balai magique de Mickey, nettoya les débris. Il arriva la même chose que dans Fantasia : les balais se dédoublèrent, puis clones après clones ils se multiplièrent comme des pantins avides dans la société moderne accompagné de l’accroissement industriel irraisonnable et de fausses représentativité propose un tableau navrant. C’était une belle époque où tout sentait bon et où les gens étaient heureux et n’avaient absolument aucune idée de ce qui les attendaient impatiemment quand l’aube arriva enfin et que les rongeurs commençaient à sortir de leurs trous tout noir et humide comme l’intérieur de tes cuisses chaudes, fumantes et alléchante. Il se léchait les babines de sa langue épaisse et suintante devant ces morceaux de poulets bien cuit et fortement assaisonnés à l’ail et au gingembre dont les géants raffolaient grandement tellement qu’ils salivaient allègrement dans un champs de marguerites bleues et roses, les enfants tombaient du ciel dans des paniers emportés par des cigognes claustrophobes angoisses qui nous entraînaient dans un délire incohérent et qui nous faisais affreusement peur. Nous sommes si sale enfermé dans des mouchoirs jaunis pas des morvions expulsés de mon nez tout rougit par les mouchements est un mot qui n’existe pas dans cette catégorie je préfère smegmatiques pantins malléables et définitifs qui s’admiraient machinalement devant la glace. Fixé comme des automates, dans une réalité propre à moi-même même si ce n’est pas exactement ce que je pense de leurs accoutumances et de leurs traditions insignifiantes qui nous force à acheter 300$ de cadeaux qu’ils ne méritent pas. J’ai l’impression d’exister et c’est une première car avoir l’impression de ne pas exister est plutôt la norme. Oui exister car autour de moi il y a des individus s’en allaient dans un parc pour faire bien tranquillement de la grossière indécente d’une vierge lubrique à la peau diaphane qui réveille en moi une sorte d’incohérence, tout ceci vient chercher un genre de désir et une merde qui me rappelle le froncement de sourcil et la différence que je vis et que je préfèrerais taire en me pendant autour des jambes un tutu bleu poudre qui me ceintrais la taille à merveille qu’une seule main peut embrasé car deux ne peuvent qu’embrasser avec le poison qui exhortait de ses lèvres et qui me tuait à petit feu. Je meurs et je deviens une genre de mort qui m’aspire et j’ouvre la gueule gluante. Une gueule qui laissait tomber sur son ventre blanc des filets de bave qui coule sur sa joue me fait rappeler le néant qui m’envahit car il coule dans le vide au souvenir de son sexe que je n’ai pas goûter alors je le noie dans un fantasme infinie. Toi belle je t’aime alors délivre moi de ton charme. Espèce d’enfoiré de trou du cul qui me tient par la gorge ne sachant pas si tu vas sortir avec cette poubelle à sperme. Je me rappelle d’un événement peu commun : allongé de tout mon long sur le haut d’une côte routière des Laurentides, quatre femmes iroquoises me lançaient des grands harpons dans le but de me tuer. Je tentais d’esquiver ces armes redoutables mais c’était peine perdu. J’étais blessé de toute part. il vomissait son sang poisseux et âcre. À tout moment l’espèce était en voie d’ablation et elle danserait maintenant devant ses disciples en ricanant sournoisement de ce qui allait probablement arriver si son chum ne faisait pas un bond hors des rails avant que le train n’arrive. Le seul fait de penser qu’il pourrait être déchiqueter la rendait anxieuse et angoissée. Elle se rongeait les ongles jusqu’au sang pleurant et agonisant de douleur intense que lui assimilait cette pensée horripilante. Elle vomi tout son corps et finis gémissante près du bol de toilette. Mort pathétique, c’est-à-dire une mort tout à fait imprévisible; bref le fruit d’un accident de parcours, d’une rupture inattendue avec l’élan vital de l’individu qui plonge les yeux fermés dans une multitudes de projets lui envahirent la tête lui sautant ainsi sur les masses gluantes de son cerveau procédant ainsi à une étape de succion afin de lui enlever tout espoir dans la vie. Je sentais que j’étais voué à la défaite, à l’échec brutal et ce, quoique je fasse. Je devais me résoudre à cesser de croire que je pouvais changer le cours de ma vie. J’optai pour une philosophie détermiste extrémiste; me laissant dériver par ce que la nature avait dictée pour ma vie. Elle marchait dans un noir absolu, tâtonnait les murs humides à la recherche de ses réponses car disons le qui ne recherche rien? Finalement comme le début de la fin encore à venir, elle se perdit dans ses propres réflexions sur l’amour car elle jugeait le concept trop complexe pour être clairement systématisé en un tableau logique. Tout ce dont elle pensait à ce sujet ne faisait que l’amener à d’autres questionnements interminables se dessinait dans sa tête. Elle fut prise de malaises et on lui assimila ce genre de médicaments lorsque vous souffrez de boulimie ou d’anorexie chronique qui lui assimilait des spasmes vertébraux qui s’avérait en être les conséquences à long terme d’une épisode traumatisante qu’elle avait subit quand elle avait été frappée par un ivrogne violent. Son globe oculaire se détacha de son œil et le sang giclait partout arrosant les passants dégoûtés. Il fini par mourir attaqué de convulsions qui venaient de toute part (faites vous en une image mentale) à la manière des parasites qui s’Amoncellent à une vitesse vertigineuse, qui s’accouplent et se reproduisent pour former des macro-regroupements d’insanités indésirables. Elle tenta de se laver et de se relaver ainsi sans cesse afin de perdre cette sensation désagréable mais au bout du compte, elle se lava tant qu’elle fini par n’être que méconnaissable. Une poupée de chimère qui enregistre tout et qui n’est plus rien. Dans une réflexion insensée, je tombai à genoux sur l’asphalte. Ces derniers furent écorchés vif et le sang coulait maintenant à flot de quelque chose d’on j’ignore le nom. Elle avait la mauvaise habitude d’oublier d’avaler sa salive durant les cours de français était son nom au complet, si charmant et élégant qu’était ce personnage du 17e siècle dont toutes les filles de l’époque s’écroulaient à chaque passage elle trébuchait. Ses amis l’appelait affectueusement casse-noisette. Il était si ému par son cadeau si spontané. Pourtant ce n’était pas sa fête. Il fut réellement touché de ce geste anonyme, il alla même jusqu’à engagé un détective privé qui grâce aux empreintes pourrait alors retracer l’individu n’était pas chose facile. Tout de même, elle pris le temps de s’offrir un sac de chips au ketchup. Elle avait les doigts tachés de rouge étaient ses cheveux aussi lisse qu’une belle pomme ciré. Oh vive les pesticides! Si vous saviez comme j’aime en ingurgiter afin de rendre mon estomac malade à différents degrés de stupidité. Elle souffrait du A8, légèrement au-dessus de la moyenne. Toutefois, cela ne l’empêchait pas de faire des mots-croisés dans le journal du samedi. Il livrait ses putains de journaux religieusement comme l’imbécile qu’il était malgré tout, il finit par connaître l’inévitable vérité du savoir et de la longue quête qu’est le chemin de la vie spirituelle. Paulie le perroquet accro aux narcotiques venait de se pendre avec son perchoir pleins de fientes toxiques était en crise d’épilepsie lèprement affreusement déçue de Jack le lépreux si malsain se retrouva dans un désert conquis par les puantes sardines du Maine empoissonné par les déversements chimiques des usines d’épuration des eaux de bécosses alors que pendant ce temps un éléphant dépressif se drogue aux ativants. Tel est le résultat d’un état se donnant l’impression d’être important… viva les ativana. Quand ils tomberont sous mon emprise, je les sodomiserai! Joyeusement, il mit a exécution sa menace. Mais la poire était innocente, elle envoya donc promener avec des chips le bleuet sauvageau. Sa mère adoptive de l’aimais donc elle lui arracha la tête et lui chia dans le corps accompagné d’un virus juif qui espérais à jamais perdre sa virginité pour ne plus se faire embêter par les Beatles qui se croyait les maîtres du monde urbain. Je l’imaginais dans les bas fond de l’insouciance mais il se mentait, il s’illusionnait, il vivait dans un rêve parfumé d’un air et d’un décor raté où les gens ont l’air beaucoup plus laid qu’ils le sont en vérité!! La synthèse des facettes de l’amour d’antan subsiste sous la forme d’un flot bénéfique autant ils étaient serein et plein de quiétude mais au fond d’eux-mêmes, ils se mentaient, ils ne s’avouaient pas leur triste sort. Désemparé, redouté, ils se détestent parce qu’il se trouve gêné. Pogné dans une peur, accablé par ses attachements sensorielles, il s’éloigne de sa nature profonde qui s’étend dans le tout, dans l’impersonnel catégorie où les gens se font croire qu’ils sont heureux. Ils s’aiment bien les gens, ils se plaisent les gens mais parfois ils n’aiment pas à quoi rime tout ça? Est nécessaire si vous souhaiter accéder aux univers parallèles décrits dans les livres fantasmagoriques d’un Lovecraft ou d’un Maupassant. Ces auteurs qui percevaient un quelque chose de très fort dans l’existence trompeuse de ces individus malsains qui prescrives des antidépresseurs à toutes ces personnes pleines de bon sens est une chose la mieux partagé selon les dires de Descartes. Ou peut-être suis-je dans les patates se conduisait avec abstinence et sobriété mais bientôt elles éclatèrent on ne les revirent jamais plus mais tout le monde s’en torchait tellement. Je descendis l’escalier lentement puis plus vite et plus vite encore mais je ne percevais pas le bout je descendais encore pour toujours se masserais les organes génitaux avec de la laine d’acier en regardant une photo quelque peu aguichante de jean Charles alors un grondement retentit tel un gigantesque requin qui pleurait en petite boule laver par ses larmes causer par un désarroi croissant de plus en plus attachant tel une crotte de chien mort. Elle gisait sur le bord de la borne fontaine alors que la pluie se mit à pleuvoir des smokes. Ce qui fit l’effet de rendre joyeux tous les petits enfants qui se mirent à ramasser toutes les cigarettes et les fuma sans arrêt. Dans le fond toutes les compagnies de tabac on fait tomber des cigarettes pour se faire plus de clients a pour dépanneur sur le bord de la 640 alors que maf…. Q.négoude?? (à revoir) se massait les joues en murmurant je… je… je t’êïme à son chat aimant se balader par la fenêtre. Il tomba 10 étages plus bas dans la neige en courant et en poussant un miaulement qui terrorisait tous les villageois enivrer par la mélancolie de la solitude car elle était embarré par en dehors. L’étendue de mon corps dans l’espace est comme la relation avec l’espace-temps. Je me perds dans la perpétuité du moment où il s’approche du frigidaire, il fut absorbé par un mini trou noir qui disparue par la suite. Au bout du compte, il se retrouva à St-GlinGlin des MeuMeu. Il n’avait aucune idée de l’endroit où il se trouvait dans un vide prématuré qui nous hantait si fort que nous en vomissions nos entrailles chaudes et bouillonnantes de nos désirs incongrus et désuets que nous avions jamais la peine d’aller jusqu’au bout il ne lacherait pas il va tous les tuer ses putain de communistes. À mort les écureuils et les rituels de magie blanche. Vive satan et les démons. Vous allez voir l’apocalypse approche ouais! Lui dis-je sans me soucier des conséquences, alors je mourru. L’insouciance nous emportes dans un tourbillon de couleurs insalubres reflétaient dans mes yeux hors de leur orbites et pendant jusqu’aux pieds de l’immense tronc pétrifié dans la glace. Un état de stupeur, je fis demi-tour et me mis à courir dans la forêt. Mon haleine humide sortait de ma bouche comme un brouillard d’insectes volubtiles qui envahissait toute une ville pour nous dévorer et nous tuer un par un en vous arrachant les tripes pour les avaler en se réjouissant d’un profond plaisir comme un psychopathe qui régresse sans cesse, comme un objet former par la société qui s’amusait à tuer les gens car il refoulait sa sexualité et ensuite il allait se taper des trips de cul et ensuite des trips de tuerie. Ils s’éventaient en gang, leur intestins coulaient le long de leur corps blême. Ils pleuraient et criaient, ils s’arrachaient lentement une partie de leur âme. Bon sang vous auriez dû être là! C’était terrifiant et troublant. Le passionné collectionnait l’ambiance comme seule porte de sortie de la rue avec un oiseau qui suffoquait à l’intérieur de sa cage de prison l’empêchait de fonctionner en armature soulèrent leur danger fiscale. Ils achetèrent donc des cartes de crédit. Je suis dans l’abîme infini du continuum espace-temps qui m’enivre et me grise au travers de la fenêtre, je vois le paysage d’hiver du Québec que j’aime tant. Il me rappelle de beaux souvenirs surviennent lorsque je pense à l’odeur des champs qui nous ensevelissait sous la couche de neige qui laisse transparaître notre fragilité du silence et du calme qui englobe la dernière partie de nous-même nous apprenons beaucoup, il suffit de s’écouter et de laisser aller nos émotions pour se rendre compte que la vie vaut vraiment la peine d’être vécue comme un papillon dans un champs de fleurs où pousse de magnifiques roses blanches et roses comme l’éternel qui fait partie de chacune d’entre nous comme l’éphémère bonheur qui nous fait aimer et désirer des hommes parfois étranges. Nos vraies pensées reflètent souvent notre vraie personnalité aux autres. J’ai donné toute l’affection que j’ai pu donné mais en vain ils n’ont pas su traduire tous les signes que je leur aient donné comme le corps qui ne ressent plus et qui souhait le désir mais cela laisse une chance à l’antipathique société dans laquelle nous évoluons sans cesse et qui nous ont amené à connaître des gens supers. Il se dandinait comme une ridicule marionnette assoiffée d’amour. Elle rampait, elle n’arrivait pas à obtenir se dont elle avait besoin d’un rotodendron pour compléter l’extraordinaire splendeur de mon jardin d’Eden qui offre la béatitude et les grandes joies de l’oisiveté de ses cadavres étaient pareil à un monument historique datant du 20e siècle on croyait qu’il était mort mais soudain il jaillit du béton tel un sous ministre de la préfecture qui a signé un traité de non-inclusion des êtres verdâtres qui fument des cigares nauséabonds à la pleine lune les jours du 18 décembre à l’occasion de la mort de Gilbert Bécaud était le défunt pour qui on livrait sans cesse des toasts à la mémoire de Gordon Siméon Vlad à chier citadin et rotadelle et je me perds dans des mots valables et insensés. Ouaf!! Insensé, voilà la morale de cette histoire incompréhensible. Dans une brève synthèse de littérature, l’absurde prédominera toujours dans l’esprit des artistes. Rantamplan et son fidèle ami parcourait la ville à dos de chameau soudain ils tombèrent tous sous le désarroi de la chose aussi hypocrite que possible. J’explorai ces mondes translucides bleu et mauve et même turquoise qui dansaient autour de moi. Je sentais même leur emprise rendait le but de plus en plus agressif envers le départ tant attendu de Gilbert Bécaud ce grand aimé de la chanson francophone qui passait tous les dimanches sur ciel FM avait désemparé des milliers de personnes du groupes 18-40ans et ils cherchaient sans cesse leur tendre moitié dans le journal. Les monuments qui se vantaient avec leur posture imposante se perdirent dans leur égocentricité et finalement ils se sentirent démodés, invalables, moches comme le système scolaire québécois qui nous fait faire tous pleins de cours inutiles, qui nous empêche de focusser sur les sujets qui nous intéressent vraiment. Ça rend notre éducation de piètre qualité même s’ils nous laissent le « choix » de faire ce qu’on veut est cette publicité débile qui prône des valeurs insensées. Quand est-ce qu’on pourra se prouver que l’on est que des pions dans un jeu trop grand comme l’univers et tout ce qui nous entoure pour les comprendre en tant qu’humains avec des limites. Nous sommes un tout dans rien et rien dans un tout en s’aggripant à une partie de l’infini pour se créer un temps duquel on ne peut aller au-delà des paramètres raisonnables qui l’imitait mon mental. Un jour j’irai au delà de tout ça, je découvrirais se qui se trame derrière ces murs bleui par la pourriture qui dénote bien de la vrai réalité que tout est éphémère. Tout ce qui est n’est pas acquis et devra un jour ne plus être. Il est pathétique de suivre les conventions psychologiques et masquer la réalité par des concepts comme la religion pour ignorer ce à quoi on ne veut pas faire face à notre désespoir. On ne pouvait même plus se regarder en face tellement on avait peur de nous même de ce qu’on était réellement et on le camouflait derrière les épaisses couches de maquillages fabriqués à base de placenta infecté par la vie et qui consiste notre premier contact direct avec la réalité, de notre infection originelle qui se répandait souvent au moyen-âge, au moment où tout était maudit par Dieu et où l’hygiène était une défaillance de l’époque. Dans l’adversité de la société règne un chaos total dans lequel se démène mon incompréhensibilité qui par delà des divinités, ce morfond mon impersonnalité, la froideur extrême de mon corps, tes seins matures et souples, il se pavane devant l’hôtel deluxe du club med en Floride du sud ou à San Tropez ou tu deviens ce que tu as toujours évité. Je ne veux pas être le vide de ton tout, l’inexplicable dignité absolue de l’obscurantisme clérical règnera éternellement, le pape bandé sous un magnifique soleil au bord de la plage accompagné de palmiers qui ballottaient au gré du vent comme une poupée d’arsenic qui se perds dans les renversements de son esprit coagulé. L’esprit coagulé des morts-vivants régnait dans l’absurdité existentielle. Microbe ou bactérie? Une question d’esprit! Ça ne fait pas partie de toute l’existence du plus grand, on se perds dans nos perceptions, si gigantesque tes fesses à saveur de vanille. J’ai commencé à ressentir le vide et la danse au centre de ma tête. J’ai eu envie de bouger, d’explorer l’espace et de comprendre ce que mon environnement signifie. Sans doute le niveau d’émancipation propre à tous les milieux de vie insignifiante et hâtive qui exagère nos propres faits et gestes, je cours sans m’arrêter, à en perdre haleine dans le monde qui me porte incompréhension. Ça me fait tellement mal de survivre et d’exister serait probablement trop intense. De comprendre les choses dans toute leur complexité arrive à tous les jours qu’ils nous restent sont comptés tant qu’à notre volonté de changer la triste réalité qui nous entoure. Ce monde putride et infecte d’intransigeance exténué et de misères tristes qui est trop souvent considérée comme passé, alors que la tristesse est tout à fait actuelle et présente. Il ne faut plus avoir honte de ses malheurs car la honte engendre la tristesse des autres personnes que l’on fréquente. À qui pouvons-nous vraiment faire confiance au point de franchir la barrière de la paresse mentale. Je ne pense pas. Je ne suis pas seulement le reflet de ce que je veux bien paraître mais que j’ignore la faculté de pouvoir mettre en œuvre tous ses projets les plus illusoires qui peut lui passer par la tête est d’une souplesse presqu’incroyable et je l’écrase de mes deux mains. L’éffoire sur l’espace elle se répand à une vitesse folle tel un jello sanguinaire. Ça ressemble à une poutine mais avec la sauce qui pogne trop épaisse pis qui fait des mottons entre les dents du cadavre colérique me rendes amères, je dois les fracasser autrement je devrais vivre avec l’idée qu’il me souriait, le marteau… le bruit est immense et doux et je bois à sa santé sur le trottoir parsemé de vésicules biliaires qui se tordent de rire en regardant la fourmi qui accomplie sa tâche sans vraiment y réfléchir parce que la tombe est si grande je me met réellement à penser m’y enfoncer… le lac si étroit est sous mes pieds, creux et invitant. Dans le sens quand on rencontre le robineux qui pu de la gueule à trois kilomètre pis qu’il te parle fort à trois pouces de la face est coulante comme la substance blanche dans mes bronches mais est-ce mieux que l’insouciance? Qui a réellement le contrôle sur la réalité? Tsé comme quand on fait un barbecue avec une dizaine d’amis pis que tout va légèrement mais soudain y’a le con qui la lance sa tite pointe qui glisse en un froid total! Parce que anyway s’en ai fini de raison se perd dans une congélation perfide. Dans le blanc des yeux se cachent la vérité, l’absolution, l’étendue, la vie et le tout saupoudré d’un soupçon de sucre en poudre, ajoutez deux jaunes d’œufs et faites cuire à 350’F d’atroces souffrances où je voyais ma chaire fondre, se calcinée et se déchirer en lambeaux mous et pendouillants qui revolèrent sur moi lorsque j’ouvris la porte, il ne faut pas mettre de chien dans la sécheuse de l’espace-temps. Les cadrans à effet solaire se démultipliaient nous conduisant dans d’autres lieux extra-temporelle où nous gambadions dans l’esprit des mouches néerlandaises à moitiés aveugles et qui volent au-dessus de la paroisse St-Georges, au loin on entend le curé chantonner gaiement un succès des années 30 : « mes manches sentent la luzerne » qui émerveillait mes dessous d’aisselle commençait à être détrempée à force de baigner dans la sueur nauséabonde de ma vielle peau flasque et juteuse mais elle le jeta dans la poubelle avec les autres détitus qui furent dévorés par des centaines d’insectes microscopiques galle de joies qui lui pourrissaient le cœur et les os à un point tel qu’il se décomposait sur place. C’est dans un important tournant que l’individu qui croit vivre est mort prématurément, il n’a pu achever son œuvre parsemée d’incohérence amena le grand publique à le comparer à un automatiste qui comme le principe littéraire, s’inspire à la base ‘‘d’art de l’inconscient’’ venait de sa raison d’agir qui le pousse à mutiler son corps qui se traduit par le bris de ses ligaments, l’éclatement de son cartilage, la rupture de ses vaisseaux sanguins. La béatitude intellectuelle était solidement encrées mais, en vain d’attendre afin d’obtenir l’absolution d’un Dieu blanc, chrétien, ils finirent par se tourner face à l’incertitude qui garantissais angoisse mais liberté ne fut jamais réellement obtenue à force de luttes incessantes entraînant sueur de l’âme et perte de sommeil… une fois qu’on a compris, difficile de se rendormir pour un moment, pour recommencer le cycle un jour. C’est cette absurdité qui nous rends dingue, débilos-stratos dans les vagues de la cryptomanie des petits bonhommes carnivores qui tripe sur les petites vagues cadaveresques avec l’effroi qui devient froid à force de boire dans le soir du désespoir et jusqu’au retour de Sir Alfred qui prédit la mort à venir des gnomes mangeurs de têtes qui oeuvraient dans les manufactures de couture bon marché de débarat de rats avec l’auto perception des zombies mutant le chant que la pauvre vie des petits enfants perdu dans la morve amputée et crottes gluantes étaient la recette de Mme Pinkle qui avait gagné le prix de gastronomie de St-Lazare était totalement infecte à l’insu des propres arboriculteurs qui ne prenaient pas de soin morose. L’incongru qui s’élançait dans ma tête se rendit compte que l’anéantissement ne voulait rien dire mais puisqu’il avait perdu tout ses sens et que ses idées étaient perdues dans l’abstraction presque totale, il était incapable ne penser et vivre pleinement leur était impossible car avec toutes les éthiques sociales les gens n’avaient pas le droit d’être autrement et ils se firent étouffer tout devint comme dans 1984. Ce qui était également l’année où Victor et Vicky se marièrent pour la première fois dans les Feux de l’Amour après avoir passé quelque temps en vacances dans le sud d’une Afrique crasse et sale. Les gens qui y habitaient ne pouvait sentir la putréfaction puisqu’ils s’y baignaient depuis s
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